Divagations du soir, espoir ?

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Espoir ou retour au noir ?

Vous l’avez lu comme moi, un personnage étrange et attachant, en légère déshérence, a surgi sur un blog qui se tenait jusque-là (un peu trop) sagement dans son coin de toile.

Ma moindre surprise n’a pas été l’apparent intérêt d’au moins trois personnes[1] quant à son devenir ! Me voici donc poussé à lui donner sa chance, dans un chez lui tout exprès taillé[2].

Et puisque je me connais assez pour savoir que ça risque de ne pas avancer bien vite en l’absence de motivation forte, c’est à vous, ami(e ?) (s ?) lecteur qu’échoie la responsabilité de faire avancer le bonhomme.

Il est né d’amorces puisées ici et là par des blogueurs, j’aimerais donc que vous me lanciez sur de nouvelles amorces, à charge pour moi de sélectionner celles qui ouvrent des horizons intéressants ou inattendus. Le plus simple, c’est de passer par les commentaires, au pied de chaque billet, en commençant par celui-ci.

Si la mayonnaise prend, j’envisagerais assez un rythme de deux billets/semaine – parce que ça prend du jus, ces affaires-là, mine de rien, et que si je n’y prends garde, la pousse de mon superbe poil dans la main pourrait s’en trouver contrariée.

Bref, lâchez-vous, dites-moi ce que vous en pensez et ce que vous attendez, faites de moi votre chose et… heu… laissez un commentaire, quoi ^^

Notes

[1] sans compter le mien

[2] il se peut que quelques plâtres soient encore mal essuyés, mais on devrait rapidement trouver un rythme de croisière

Vous faites quoi demain ?

Avisse à mes lecteurs parisiens qui se demandent quelle tête j’ai en vrai : demain c’est install-party, n’hésitez pas à vous inscrire dans les commentaires du billet d’annonce !

(oué c’est du blogging en mode feignasse surmultiplié, je ferai mieux la prochaine fois ^^ )

Du nouveau (je vous rassure, c’est pas ici)

Vous voulez vous inscrire à mon fan club ? Découvrir mes photos pas volées par des paparazzi ? Bref, ma vie en vraie titille votre curiosité ?

Venez donc étancher votre inextinguible soif par ici \o/

Comme prévu

Comme je l’avais annoncé, le mois de mars a disparu de ce blog – mais pas entièrement de l’internet. Si vous souhaitez le retrouver, vous pouvez m’en demander l’accès en m’envoyant un p’tit mot ;-)

À bientôt.

Je suis un beau salaud

Non je ne fais pas allusion à la lâche façon dont je laisse ce petit coin de toile en quasi déshérence, mais à ma dernière apparition publique

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Deuil

Allez, je me lance, il paraît que sur un blog on dit des trucs persos, des fois.

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Plop !

En coup de vent.

Le billet du jour est dans la cabine d’à côté. Bises et soyez sages, stop.

En direct live du dedans de l’événement !

Ave mes fans !

En cette heure solennelle, je saisis (par les cheveux) mon clavier avec l’émotion au cœur et au corps car, oui, je blogue devant tout le monde, depuis le cossu salon de la Maison Internationale de la Cité Universitaire internationale de Paris et c’est donc un reportage en plein dedans que je vous livre sans concessions (ah mais !)

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Marqué (à la culotte ?)

Voilàtipas qu’un nouveau venu me fait passer une chaîne. À moi. Qui croyais être bien planqué sur mon coin de toile, persuadé que seuls quelques patients curieux me tomberaient dessus, me voilà sommé de répondre… à une des chaînes les plus sympa qu’on m’ait refilé. Un vrai truc de feignasse en plus. Qu’on en juge.

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Night in jail

Autrefois, le rossignol ne chantait pas la nuit. Il avait un gentil filet de voix et s'en servait avec adresse du matin au soir, le printemps venu. Il se levait avec les camarades, dès l'aube grise et bleue, et ravissait chacun jusqu’au soir des ses trilles et de ses délicats arpèges.

En ce temps-là, le monde était vaste, la lune était grosse et les marées majestueuses. Nous étions jeunes, en somme.

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Hanging Rock ?

Je ne sais pas qui a eu l’idée de ce pique-nique, mais c’était une idée de génie. Enfin, pique-nique, faut le dire vite (on était quand même dans un resto), mais ce qui me reste de l’atmosphère de cette journée m’évoque le soleil, la détente, la bonne compagnie – les ingrédients d’un déjeuner sur l’herbe réussi, en somme.

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Chapitre 11

Domiiiiiiii ! Il est pourri ton rade ! Viens on se rentre !

Au début, ça lui avait paru une bonne approche, d’aller voir dans les points de chute connus de Serge si quelqu’un savait quelque chose, mais là, Marie commençait à la trouver longue et saumâtre, d’autant qu’il fallait bien consommer pour s’attirer la bienveillance de la population locale et que son foie manquait d’entraînement pour ce type d’épreuves.

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Le pire aîné des Pyrennées

L’homme est au moins aussi étrange que son logis. C’est un philosophe silencieux comme les solitaires, abritant sa méfiance de paysan sous d’épais sourcils broussailleux.

C’est exactement le passage qui me revient en passant le seuil de chez René. Nous l’avions connu dans la force de l’âge, râblé et fort en gueule, et je retrouve un curieux vieil homme, noueux comme un cep, devenu un étranger avec les années. Heureusement, la malice de son regard me confirme que René est bien là, dans ce corps que les couches sédimentaires de l’âge ont forcé à s’assagir.

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Hérédité

Il fallait dire que la proposition était alléchante. Le notaire me l’avait dit lors de la succession, mais aurais-je simplement l’envie et le courage, le courage surtout, de m’occuper de tout ça ? Sans compter que je n’étais pas vraiment venu là pour ça, au départ, et que ça ne serait pas forcément du goût de Castor, cette affaire-là. Plutôt bonne pâte, le gamin, mais faudrait quand même voir à pas lui vendre des lampions pour des étoiles.

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Viaduc (de Guise)

– Que le diable vous étrangle ! murmura Sikes en grinçant des dents ; je voudrais bien vous tenir, les uns ou les autres, je vous ferais hurler encore plus fort…

Et voilà. Encore un coup ça ne loupe pas ; il dort. À quoi ça sert de lui lire des trucs d’aventures oussqu’on en a partout plein les mirettes pour qu’il me lâche à la première demi-page ? Non parce que moi, j’aimerais tout de même bien connaître la suite – et je ne peux pas lui faire le coup de progresser en loucedé dans l’histoire.

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C’est où qu’on va quand ?

Ce que j’ai toujours trouvé curieux dans les transports en communs, c’est la manière que nous avons (je ne déroge pas à cette habitude) de choisir un endroit libre. Ça en dit long sur là où on se situe – ou, en général, on croit se situer – dans la microsociété embarquée dans le véhicule sur le point de se mettre en branle.

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