En effet, figurez-vous que, dans le texte intitulé T’as de la chance qu’il soit pas président, j’ai prêté ma voix à un personnage peu recommandable de « sale flic » nommé Jafflelot. Une espèce de brute sans âme, petit soldat de l’abus de pouvoir, inspiré (hélas) d’un gardien de la paix réellement croisé par l’auteur. Et là, les retours ont été, heu, chaleureux…

– Ah dis-donc, dans le flic, là, on avait vraiment envie de te foutre des baffes !

me restera comme un des commentaires les plus enthousiastes à la fin d’une mienne performance, je pense. Comme vous regrettez amèrement de n’avoir pu y être, je le sais, je vous mets un aperçu de ma prestation, dans le texte oussque je cause le plus (mais là, je fais le gentil, enfin, si on peut dire), intitulé Comment j’ai mangé Nicolas Sarkozy[1] !

Salut amical à Marie-Pierre de Porta, à l’auteur et à mes joyeux partenaires[2] (vous entendez ci-dessous Thibault de Montalembert en juge).

Je ne désespère de reprendre le feuilleton, un de ces quatre, sinon, restez dans le coin ^^

Notes

[1] hé ouais, il y a vraiment des personnages qui mangent n’importe quoi

[2] Edit : Je peux les nommer tout de même rhooo : vous n’entendez donc pas Luc Cendrier (oui, le père de…), Raphaëlle Gitlis (intense), Clément Variéras (et sa guitare enchantée) et Élise Vigier (charmante ô combien)