Tanaron, le blog

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mardi 15 décembre 2009

Tanaron dans ta télé

Hé bien oui, contrairement aux apparences, je n’ai pas encore perdu les clefs de l’administration de ce blog !

Et j’y reviens, donc, aujourd’hui, pour vous donner des nouvelles de Tanaron.

Car il y en a. Et même plus que je n’en ferai tenir dans ce billet :-)

Disons, en bref, que le projet de film est de nouveau d’actualité (même si toujours sans date précise de réalisation, mais avec tout de même des pistes) et que j’y suis passé plusieurs fois ces derniers mois, à tel point que la télévision locale a tenu à immortaliser la portée historique de ce compagnonnage \o/

Et sur 1 heure et demie encore, avec un plateau au milieu ousqu’on m’interviewe, et tout !

Par ailleurs, je prépare le vrai site de Tanaron… mais je viendrai bien sûr vous en avertir ici.

À bientôt, donc, ici ou ailleurs ;-)

vendredi 19 juin 2009

Vous faites quoi demain ?

Avisse à mes lecteurs parisiens qui se demandent quelle tête j’ai en vrai : demain c’est install-party, n’hésitez pas à vous inscrire dans les commentaires du billet d’annonce !

(oué c’est du blogging en mode feignasse surmultiplié, je ferai mieux la prochaine fois ^^ )

samedi 23 mai 2009

Un plan vacances d’enfer, ça vous tente ?

Comme l’a récemment fait remarquer Aminotérus dans les commentaires, c’est le bon moment pour appeler Tanaron et préparer le prochain chantier d’Été. Michel et Marie sont joignables aux 06 59 86 64 46 et 06 87 49 49 43 ou par courriel à association[chez]tanaron[point]com. Un été inoubliable à la portée de tous les jeunes qui n’ont pas peur des vieilles pierres, ça ne se refuse pas !

Par ailleurs, et à propos de ça n’a rien à voir, ceux que ça intéresse peuvent enfin suivre mon vrai moi que j’ai sur l’internet sur un site digne de ce nom par là. Retours appréciés, bien sûr.

vendredi 27 mars 2009

Travaux en cours !

J’ai finalement décidé de commencer la migration du Tanablog sur Dotclear 2. Attendez-vous donc à une navigation chahutée et à une apparence inhabituelle pendant quelques temps.

Vous me direz que renouveler le moteur d’un blog qui rouille au fond du web est assez curieux, mais c’est plus simple à gérer pour moi, à moyen terme.

(en tout cas j’espère :-D )

mardi 21 octobre 2008

Retour à Casse-toi-le-dos la montagne

Résumé des épisodes précédents : depuis un certain coup de fil, notre héros autoproclamé, citadin[1] endurci, a jeté un bout de son ancrage affectif, sur cinq ruines et trois cailloux perchés à un millier de mètres d’altitudes… De retour après plus d’un an (et pour ses premières nuits sur place depuis plus de deux ans et demi), que trouvera-t-il ? Le cimetière l’accueillera-t-il encore volontiers ? Le rocher tutélaire nous sourira-t-il encore ? L’église sera-t-elle remontée ou retombée, et surtout, surtout, qui est encore là-haut ?

Vous le saurez (ou pas) en lisant la suite du billet !

Rha pinaise de fouchtra, un bon vieux teasing des familles, ça fait du bien par où c’que ça passe, je vous le dis.

Adoncques, j’ai pris le train. Porte à porte, de chez moi à Tanaron centre, comptez à peu près sept heures. Une heure et demie pour aller à la gare de Lyon[2], trois heures pour être à Aix, une demi-heure pour la correspondance, une heure et demie de bus pour atteindre Digne[3] et encore une grosse demi-heure pour arriver au village. Fatigué un peu.

Je ne vous ai rien dit du détail de l’appel à Tanaron reçu cette fois. En fait, il s’agissait d’un anniversaire (avec un chiffre rond au bout, mais bon, quand c’est une dame on n’insiste pas sur ces détails réputés désobligeants). L’anniversaire de Marie, donc. Et LE truc amusant, c’est qu’on attendait aussi (à compter du lendemain, vussque la fête c’était samedi/dimanche et que j’ai débarqué le vendredi soir) tout un tas de personnages de roman… Pouf, pouf. Tout un tas de personnage du roman… Repouf, repouf. Tout une partie de la bande des aixois des années 60. Vi vi. Les gamins fous d’alors, un peu moins gamins peut-être (encore qu’une lueur dans l’œil reste vive), mais toujours aussi allumés, remontés sul’ rocher. Comme moi je l’ai lu, le roman, en 2005, je peux vous dire que ça fait un certain effet. Y en a même des qui connaissent le blog ! Je me suis même fait tirer les oreilles sur le thème « ouiiiiii ! mais en fait en vrai en fait y a pas touuuut. Et puis ce qu’on a vécu en fait en vrai t’en parles pas des masses. Et pis les commentaires y sont pas terrib’ ! Et pis, bon, voilà, c’est bien gentil ton truc, mais j’aurais pas fait pareil[4] ».

Deux jours à les voir, les écouter, sans parler de la visite de Mme Endignoux, la bru de la Félicie Endignoux partie en 1948, les yeux plein de lumière du haut de ces cent deux piges[5] le dimanche, et du projet de reconstruction du village enfin formalisé… bref, quelque chose de vivifiant, d’apaisant, et une bonne bouffée d’envie de reparler sur le blog :-D

Pour ce soir, je m’arrête là, mais je ne désespère pas de revenir sur le déroulement de la teuf’, les nouvelles que j’y ai apprises et les perspectives qui restent ouvertes.

On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d'années, on devient vieux parce qu'on a déserté son idéal. Les années rident la peau ; renoncer à son idéal ride l'âme.
Douglas MacArthur

trouvé

Soyez (pas trop) sages ;-)

Notes

[1] et même, n’ayons peur de rien, Parisien

[2] j’avais compté large eu égard au fait que j’avais pas mes biftons pour le train et que le Reureu direk de Saint-Denis à Gare de Lyon c’est un tous les quarts d’heures ! Nan mais tu peux le croire, ça ?

[3] hééé oui, déjà dans les années soixante, quand on prenait un billet de train pour Digne, on arrivait à la gare en bus

[4] je schématise salement et avec une mauvaise foi crasse, vous l’aurez compris, mais je ne désespère pas 1. d’obtenir un commentaire de Jean-Luc pour protester de ce que je caricature sa pensée, ses paroles, et de ce que je profite lâchement de ce que c’est mon blog et que j’écris les conneries que je veux et 2. d’avoir plein de comm’ outrés de gens qui ne comprennent pas pourquoi on dit qu’il ne sont pas d’un niveau très largement haut du panier passque quand même quoi merde ! oui, je suis machiavélique, n’est-il pas ? ^^

[5] que même, si ça ressemble à ça, même pas peur d’être centenaire !

vendredi 10 octobre 2008

En route pour Tanaron, mon vieux Milou

Non ? C’est pas dieu possible ? Un billet ? Ici ? Qui parle de Tanaron ? Ok, où sont cachées les caméras ?

Hé bien même pas. Il n’y a pas de piège (à part naturellement la brièveté du truc). Ce week end, à Tanaron, on fait la fête et, naturellement il ne saurait s’y dérouler de fête réussie sans moi[1].

Et comme c’est un événement planétaire, la presse en parle. Il y a aussi eu un sujet sur France 3 région, mais j’ai pas le temps de vous le convertir (si quelqu’un sait comment monter un flv de façon très simplifié sous linux, mes commentaires vous accueilleront à bras ouvert).

Des bises, et, peut-être, un compte-rendu la semaine prochaine[2] \o/

Notes

[1] et je me la raconte si je veux, non mais sans blague

[2] oué, l’espoir fait vivre

lundi 7 avril 2008

Vouloez-vous jouwer avec moaaa ?

Les divagations nocturnes de notre critique atrabilaire né d’un sablier printanier, je suis obligé de l’avouer, m’ont sérieusement titillé. Certes, je leur ai associé une catégorie ici, mais, poussé par trois lecteurs en délire[1] dans les commentaires du dernier billet, j’ai envie de tenter l’aventure d’un nouveau blog à notre héros dédié.

On dirait que ça se passerait par là et que ce serait les lecteurs qui fourniraient les amorces – à la différence que je resterais maître de celles que j’utilise :-p

Ça vous dit ? J’attends vos commentaires, suggestions et amorces sous le billet de lancement. Ici, exceptionnellement, pas de commentaires, ce qui suit ne concerne pas ce blog (j’envisage même sérieusement de faire sauter le présent billet dès que le nouveau machin sera sur les rails).

Notes

[1] il y a bien sûr, dans cette masse, deux lectrices pour un lecteur, mais que peut-on faire face à la phallocratie linguistique ?

mercredi 2 avril 2008

Dernière visite ?

Je ne sais pas où il est, je ne sais pas qui a eu cette brillante idée ni qui a pris la photo, mais si je savais où le trouver, j’y courrais derechef. Preuve supplémentaire, diront les caustiques, d’une tendance lourde chez moi ; j’aime – du moins tout porte à le croire – m’entêter dans les mêmes erreurs.

Faut me comprendre, aussi : qui n’a jamais éprouvé la volupté de se baigner deux fois dans la même flaque de boue ? De retrouver sa bonne vieille mouise que tant d’efforts nous ont permis de rendre inextricable ?

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Vanitas vanitatis

Notez, je vous prie, que j’aurais résisté longtemps avant de finalement céder sur un malheureux coup de tête hier soir dimanche, aux alentours de minuit. Les plus caustiques, je les entend déjà, diront que ça me pendait au nez, que ça ne peut surprendre que les naïfs ou ceux qui me connaissent bien mal. Je suis sans doute un peu dans les deux cas ; je ne m’y attendais pas.

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lundi 31 mars 2008

Castor de résistance

« Et puis un jour, on ose relever la tête. Enfin, pour moi, cela s’est traduit comme cela : j’ai commencé à arpenter la vie en ne contemplant plus le sol, courbée que j’étais sous le poids de mon encombrant boulet, mais redressée, regardant les autres dans les yeux, et l’horizon vers lequel j’allais… Libre, finalement. Ce n’est pas ma faute si je suis la seule de ma cellule de résistance à n’avoir pas été capturée. D’ailleurs, c’est la faute des machos de la bande et leur manie de m’envoyer au ravitaillement. Les petits cons ! finissait-elle dans un sanglot. »

C’était quelqu’un, ma grand-mère !

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Petites boîtes

L’humanité se divise en deux camps bien distincts que tout oppose irrémédiablement.

La ligne de fracture passe très précisément au milieu de la table de ma salle à manger… De l’autre côté, la multitude, les autres, les gens – ce merveilleux mot pour rejeter l’humanité hors de nous-mêmes. De mon côté, bien sûr, le raffinement, la curiosité, l’esthétique, le goût de la quiétude ; un certain art de vivre en somme.

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dimanche 30 mars 2008

Happy ending ?

Ça y est enfin. Cela fait des semaines que je pense à ce moment. Comme le dit le dicton coréen, « le meilleur moment quand on fait l’amour, c’est quand on monte les escaliers ». Un bordel monstre règne dans et sur mon bureau. Rien à battre. De toute façon, c’est pas comme si c’était inhabituel. Le désordre m’est pour ainsi dire consubstantiel et seule l’appréhension – légitime – me pousse à penser que mon fatras ordinaire puisse être un problème. Et puis il déborde pas dans l’escalier mon merdier de bureau, alors quoi ?

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samedi 29 mars 2008

Rendez-moi l’écran blanc et les nuits noires

Certains soirs, pour faire mon intéressant, il m’est arrivé de monter sur une chaise, de me draper dans un torchon à carreaux et de déclamer une poignée de vers avec des accès de lyrisme proportionnels à mon taux d’alcoolémie. Il s’agissait de l’extrait suivant : « Chères images aperçues / Espérances d’un jour déçues / Vous serez dans l’oubli demain ». Parce que cette chanson, c’est un peu l’histoire de ma vie ; parce que Brassens , c’est un peu le plus grand chanteur à moustache de tous les temps ; parce que ces quelques vers, c’est aussi mon métier.

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jeudi 27 mars 2008

Bon sang mais c’est bien sûr

Vous savez pas la dernière ? Il parait que j’ai un blog. Oui, oui, un de ces machins sur Internet où je raconte ma vie. Ça me revient d’un coup, là, sur le palier, en caleçon, à 4 heures 37, alors que je viens de relancer pour la troisième fois le chant des baleines à bosse.

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Et deux glaçons !

Il est trois heures du matin, je n’arrive pas à dormir. J’entends le bruit de la mer, des vagues qui s’écrasent contre la falaise en soupirant, en rongeant de leurs larmes les pierres insensibles. C’est à la fois beau, intensément mélancolique et un peu fatiguant. Et puis je me rassois sur le bord du lit. Quelque chose décidément me tracasse ; qu’est-ce que ce ressac vient foutre à Courbevoie ?

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mercredi 26 mars 2008

Les poils roux de la brossse à dents

Il faut que je vous raconte… C’est une drôle d’histoire en fait, une histoire de brosses à dents ! Dingue !! En fait tout a commencé alors que j’étais chez B. toute la semaine dernière. Nous avions bien senti que quelque chose se tramait dans la salle de bain, et puis il fallait se rendre à l’évidence, il y avait des signes avant-coureurs qui ne trompent pas… Je parle bien sûr ici des très suspects poils roux qui faisaient des apparitions intempestives dans la baignoire.

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lundi 24 mars 2008

Oui, en fait… c’est vrai

Maintenant que l’affaire est mediatisée, que non seulement les sites internet, mais aussi la radio et la télé parlent de l’affaire, je me sens plus libre d’en parler. C’était comme un poids, une sorte de sac d’embrouilles pendu à mes basques comme une épée de Damoclès – vous voyez l’idée.

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jeudi 20 mars 2008

Si six scies scient six cigares, six cent six scies scient six cent six cigares

Franck m’a encore enchaîné !

Aujourd’hui c’est une chaîne croisée plus de six fois (j’en suis sûr) lors de mes pérégrinations sul’ ouèbe qui me retombe dessusse.

Je suis donc supposé livrer à votre sagacité six informations plutôt brèves et d’une pertinence non garantie sur moi (et il ne vous aura pas échappé que même avec un truc aussi peu contraignant, il me faut plus d’une semaine pour rendre ma copie).

Prêts ?

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mardi 26 février 2008

Rock star !

Piqué chez a n g e l et revu chez Moe, la couv’ de mon prochain album \o/

Fontona - to the utterly bewildered

suivant la règle des trois :

Je précise que je ne suis pas d’accord sur le dernier point appliqué « brut de décoffrage ». En effet, je me refuse à faire joujou avec des n’images que l’auteur ne souhaite pas me voir trafiquer. J’ai donc rechargé la page jusqu’à ce que la troisième image se révèle dotée d’une licence Creative Commons. En effet, cette bien belle photo de *Zara est sous licence by-sa, ce qui m’oblige donc à partager mon bidouillage crassouille sons la même licence. Je vous mets même la source au format xcf (le format natif de The GIMP).

Cette fois c’est sûr : Yes I'm going to be a pop star

L’avantage c’est que ce n’est pas une chaîne à faire tourner, du coup vous pouvez jouer si ça vous amuse et je n’ai besoin d’embêter personne ;-)

À la prochaine. Et je retire ce que j’ai dit dans mon précédent billet : ne soyez pas sages ^^

lundi 25 février 2008

Gulp !

Conscient de ma notoriété interblogoriale, des responsabilités qui sont les miennes vis à vis de la foule compacte de mes lecteurs[1], je me permets d’utiliser cet espace[2] pour vous appeler en masse, amis dotcleariens[3] à venir nous aider à boucler le prochain avatar de dotaddict.org. En effet, après le site pour les thèmes, celui pour les plugins et même le blog de suivi, ça va maintenant être le tour du site des trucs et z’astuces alias tips. Et si vous avez des trucs supaires qu’on connaît pas, des bidouilles atomiques et autres astuces culinaires pour que le php ne fasse pas de grumeaux, faites tourner !

Par ailleurs, je me dois de vous avouer[4] que j’ai dû manquer de bol à la courte-paille, parce qu’il paraîtrait que je pilote le tips[5].

Soyez sages, un jour je rebloguerai (dès que j’aurai quelque chose d’intéressant à partager on va dire ^^ ). À bientôt les p’tits loups :-)

Notes

[1] au moins une dizaine de malheureux semblent s’égarer tous les jours chez moi

[2] une fois mon chemin tracé à travers les toiles d’araignée

[3] oui, ceci est encore un billet qui concerne assez peu celles et ceux d’entre vous qui n’utilisent pas le même blogiciel que moi

[4] bon, ok, je me suis fait balancer par un pote

[5] ce qui n’est pas rassurant en termes de délais de livraison :-D

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