Tanaron, le blog

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vendredi 21 décembre 2007

Attention cambouis frais !

C’était il y a encore peu qu’avec des trémolos dans la voix je vous annonçai l’arrivée du site qu’il est beau pour les thèmes dotclear. Et bien voilà qu’il est tout aussi beau pour les plugins aussi.

La Lazzzy Dotaddict Team en a remis une couche, et tout le monde se demande ce sera quoi la prochaine ? Le moteur à faire des bulles de mousse dans ton dotclear ? La machine à faire les billets qui ramènent du monde sur ton blog ?… Stay tuned, on n’en a pas fini avec ces gars/filles-là ^^

Qu’est-ce que vous faites encore ici ? Je vous l’ai dit, c’est par là que ça se passe ;-)

dimanche 25 novembre 2007

Je t’en pose, des questions ?

Adrian est plutôt un brave type. Mais je ne sais pas, j’ai dû l’agacer en m’acharnant contre lui car il m’a renvoyé cette chaîne infernale de portrait chinois.

Du coup, c’est pas encore aujourd’hui que je vais faire le billet des deux ans du blog qui a déjà quinze jours de retard. Mais là au moins, vous savez à qui adresser vos réclamations ^^

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dimanche 11 novembre 2007

Ma meilleure soirée entre deux flics

Encore une fois j’avais craqué. Pas comme les premières fois chez les italo-irlandais. Il y a beau temps que toute la bande a changé de crèmerie.

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mardi 30 octobre 2007

Attention peinture fraîche !

Je ne parle pas de celle de ce blog, malgré les récentes retouches que je n’ai pas encore incluses dans la version distribuée du thème, mais de celle de Dotaddict.org[1], le site qu’il est bien où vous pouvez trouver tous les thèmes (enfin, dès que leurs auteurs les y auront reportés ^^ ), pour Dotclear 1.2.x, 2.0 ß, et les nombreuses futures versions. On dit donc merci à la bande des Plaf (qui signent la mise en place de la chose) et on va voir.

Allez, restez pas là, j’ai un billet sous contrainte torture à faire :-p

Notes

[1] en tout cas, pour l’heure, la partie thèmes d’iceluy

mercredi 10 octobre 2007

Cinq raisons ou alors cinq choses

Il y a une éternité (à l’échelle de l’instantanéité de la blogobulle en tout cas) deux attachants hurluberlus m’ont gentiment fait passer le même « questionnaire de blog », auquel je n’ai, à ce jour, toujours pas répondu[1]. En revanche, je ne suis qu’abominablement en retard (donc pas encore vraiment hors délai \o/) pour répondre à l’autre questionnaire relayé par l’ami Franck.

Le premier questionnaire (car la question vous brûle les lèvres) s’intitulait (à peu près) : Cinq choses que vous ignorez sur moi et le petit nouveau Cinq raisons de bloguer. Ce soir, la maison ne reculant devant aucun sacrifice, je vous propose :

Cinq raisons (que vous ignorez peut-être) pour lesquelles je ne blogue pas souvent !

Comme ça, on pourra pas dire que je réponds pas aux questionnaires ^^

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lundi 8 octobre 2007

Retard de bonheur

Le bonheur vient-il de ces deux mots : la bonne heure ? Cela voudrait-il dire qu'il vient toujours à la bonne heure ? Le bonheur est-il ponctuel ?

Si ce devait être confirmé, ça m’inquièterait quand même un peu. Enfin tout de même, quoi, LE bonheur c’est quand même pas l’ami Ricoré™ ? Parce que sinon, c’est juste pas possible :

Moment de bonheur programmé dans 10 secondes…

− Ah oui mais là, non, j’ai une rage de dents, y a pas moyen !

5, 4, 3, 2, 1 lancement du bonheur.

− Qu’est-ce que tu veux ressentir comme bonheur avec une fraise en train de te labourer la molaire, saleté de bonheur programmé ?!

Ce moment de bonheur vous était offert par Manef, l’assureur de votre bien-être. Merci de l’avoir partagé avec nous. Prochain moment de bonheur dans 18 ans, 9 semaines, 1 jour, 18 heures, 23 minutes et 16 secondes.

− Argh, mon horloge interne a été rachetée ! 18 ans, ça fait long, en plus…

Pour augmenter la fréquence de vos moments de bonheur, vous pouvez souscrire un contrat « Premium options » à − 50% les deux premiers mois, dans le cadre de notre semaine promo…

Nan, définitivement, ça peut pas marcher comme ça, le bonheur, il doit y avoir un autre truc.


Troisième et déjà dernière participation au sablier d’automne de super Kozlika et miaou Samantdi :-)

Ne quittez pas, le Tanablog revient bientôt

samedi 6 octobre 2007

GroOÔOoarrrr !

Je n’ai pas de mot. C’est rare. Mais c’est ainsi. Ma colère est au-delà des mots. Et d’ailleurs ce seul fait augmente encore ma rage.

Cette vague brutale me dégoûte. On peut tout de même préférer avoir son quant à soi. Où serait le mal ?

Et puis, c’est une question de bonne éducation : on ne manifeste pas bruyamment ses états d’âme quand on a un peu de raffinement. J’ai toujours mis un point d’honneur à ne pas prendre le monde à temoin de mes petites misères…

Alors merde ! Je proteste. J’ai le droit de refuser de céder à la colère, non ? Quel besoin a-t-elle, cette carne, de s’insinuer dans chaque pore de mon être, d’anesthésier ma réflexion, de me voler ce trésor si patiemment accumulé, année après année, lecture après écoute gourmande : MES mots !

SALOPE !

J’exige la reddition sans condition de toute animosité interne, au risque de mesures de rétorsion extrêmes. Que nul n’y voit de menace, mais j’ai refait mon stock de camomille et je n’hésiterai pas à m’en servir, si aucune issue raisonnable en peut être envisagée.

Mais je crois que ce qui m’est encore le plus insupportable, c’est que cette bouffée enrageante a réussi à m’obnubiler à tel point… que je serais bien en peine de déterminer ce qui a pu être à la source de cette fracture de self control. Pourtant, ça devait bien avoir de l’importance… au départ. C’était forcément quelque chose de… forcément… tout de même… parce que sinon… sinon… à quoi bon ?


Deuxième participation, pour le sablier d’automne de Kozlika et Samandti

Pinaise, deux billets en deux jours, cépapossib’

vendredi 5 octobre 2007

Absence

Je n’ai plus l’habitude de travailler en entendant des sons humains autour de moi.

Pardon…

Je n’ai plus l’habitude de travailler ni d’entendre des sons humains autour de moi. Je vis dans un « flou ». Je ne sais plus comment je suis entré dans cette zone grise où je m’enfonce mollement. Tout ce que je me rappelle, c’est qu’un jour j’y suis entré, mais par où ?

Y a-t-il même un contour à ce magma cotonneux ?

Pourtant, je ne ressens pas le manque, ni la faim, ni même la soif. Et je ne suis pas sûr de me rappeler la dernière où je me suis débarrassé de mes fèces… Ai-je d’ailleurs même des fesses encore ? Ne suis-je pas juste fondu dans ce brouillard où il m’est parfaitement impossible de distinguer mes membres ? Et d’ailleurs… quelle heure est-il ?


Modeste participation au sablier d’automne de Mesdemoiselles Kozlika et Samantdi. Tanablog pas mort ? ;-)

dimanche 21 janvier 2007

Je vous ai parlé de DotClear ?

Les plus attentifs d’entre vous auront bien sûr remarqué le lien « propulsé par Dotclear » en bas de chaque page du blog et ne s’en seront peut-être pas préoccupés davantage. Seulement voilà, ce système grâce auquel je publie ces passionnants billets, je m’y suis attaché. Au point de commencer à fréquenter sérieusement le forum d’entraide, où, à ma durable surprise je me suis trouvé propulsé modérateur il y a à peu près deux mois maintenant (ce qui n’augmente pas le temps que je passe à bloguer, notez bien :-/ ).

Du coup, aujourd’hui, et parce que ça fait un moment que je voulais le faire aussi, j’ai décidé de partager le thème (que, comme quoi tout arrive, je considère enfin terminé) que j’ai fait de mes mimines potelées et qui habille mes mots de ce chatoyant manteau chamarré :-D  :

Il y a même un LISEZMOI qui précise deux ou trois choses bonnes à savoir pour la bannière, c’est dire si je vous gâte ;-) . Toutes questions et suggestions d’améliorations bienvenues ci-dessous.

Pour le(s) fidèle(s) lecteur(s) : retour à Tanaron bientôt[1] ^^

EDIT du 7 août : les paquets ont été mis à jour, avec des corrections mineures sur quelques caractères et un LISEZMOI complété. Enjoy

EDIT du 8 août : galvanisé sans doute par l’adoption du thème par Blog séduction (ça fait limite interdit aux mois de seize ans, comme pseudo, ça, non ?), j’ai fait une mise à jour « plus mieux bien », désormais version 1.1, avec une bannière utilisable sans modifications préalables et un formulaire customisé pour les commentaires). Attrapez-le ici :

Et vous avez droit à une capture d’écran, telle qu’elle figure dans le paquet… que demande le peuple ?

capture du thème Ah ! Tanaron !

Notes

[1] si si promis, p’touille

mercredi 13 décembre 2006

Ouverture de la saison 2

Après examen des résultats du grand sondage, je vois bien que je ne pourrai pas m’arrêter, trop de gens attendent de moi de nouveaux billets, trop de suspense vous tient en haleine depuis le 23 février dernier (glups) : je ne peux pas vous faire ça !

J’ai donc installé l’excellent plugin Gallery de Dsls pour pouvoir, oui, vous l’avez deviné sans oser l’espérer, organiser des photos sur ce blog.

Aujourd’hui, et pour fêter ça, j’ai donc ouvert ma toute première galerie, poétiquement appelée : Les déchets de la société !

Non vous n’y verrez pas les jolis minois de l’équipe, mais quelques vues sur ce que l’incurie des hommes peut faire, même à mille mètre d’altitude, d’une nature pourtant belle à couper le souffle. Parce que déblayer l’église ou le cimetière, c’est mignon, on se bat contre les injures du temps (salaud !)… et on jouit immédiatement du résultat. Mais les injures au site faites en quelques décennies par nos « semblables ». Par négligence, par incapacité à prendre en compte les conséquences de sa paresse, parce qu’on croit que le retour à la nature peut se faire sans effort, on se retrouve à monter son merdier à 1000 m d’altitude.

Valise de déchets

C’est finalement peut-être un bon moyen de se rappeler l’étendue de notre responsabilité vis-à-vis de la planète[1]. Du coup, ça me fait un billet bref, ce sont surtout les images qui parlent ;-)

Cliquez sur la photo pour accéder à la galerie. Et à bientôt (si, si, promis).

Notes

[1] je fais le niaiseux si je veux, nonmaisho

dimanche 19 novembre 2006

Bon anniversaire, le blog !

Hééé oui, vous fûtes nombreux à me le souhaiter (y a au moins moi, je suis presque sûr d’y avoir pensé le jour même, alors que j’étais en répétition, loin de tout ordinateur), c’était hier (enfin, il y a quinze jours, le 4 novembre) que le Tanablog a fêté sa première année d’existence !

Et, nous ne couperons pas à la tradition, voici venue l’heure du bilan…

Le Tanablog au bout d’un an c’est :

  • un nouveau look pas fini (largeur de colonne fluide au lieu d’être fixe, meilleure compatibilité avec l’infâme IE[1] – j’envisage en fait de le proposer à la communauté, vaut mieux que ça soit pas utilisable strictement que par moi) ;
  • 20 billets, 21 avec celui-ci, si j’ai bien compté, ce qui m’exclut définitivement de la catégorie « blogueurs productifs » ;
  • quelques rares fidèles qui comment(ai)ent régulièrement ;
  • quelques rencontres et coïncidences ;
  • pas mal d’égarés du Gougoule. a n g e l ayant à peu près épuisé le sujet, je ne commenterais pas sur les innombrables malheureux venus chercher chez moi les résultats d’un jeu télévisé crétin, ou la meilleure manière d’organiser leur ménage. Signalons toutefois les méritoires efforts de certains pour se distinguer par une recherche sur photo de diantre[2], ou baba cool fasse à la mort[3]
  • une floppée de visiteurs de chez a n g e l, dont la deuxième fournée est en plein déclenchement ;
  • j’ai tout de même atteint en partie mon but en donnant une petite visibilité web à Tanaron.

Car oui, si je bloggue ce soir matin, c’est parce que j’espère tout plein de commentaires terribeul car c’est de toi, ami(e) lecteur(trice), que dépendra l’avenir du Tanablog. J’ai du mal (c’est un euphémisme) à bloguer sur Tanaron : les faits s’éloignent dans ma mémoire, je suis un gros flemmard, et mon actualité s’est déplacée. Alors je m’en remets à toi, qui lis en te croyant à l’abri derrière ton écran (alors que j’ai les IP, gnéhéhé !) :

Que dois-je faire de l’endroit.

Voici les possibilités entre lesquelles j’aimerais que vous vous prononciez dans les commentaires :

  1. Je laisse mourir : cet espace deviendra un fantôme recelant des archives pour les générations futures, comme ça, le jour où le dernier arbre aura brûlé, on pourra encore se rappeler ce qu’était la nature au temps de sa magnificence.
  2. Je me remets au boulot et plus vite que ça : il y a une saison 2 à mettre au four, et on veut tout savoir sur Tanaron, rien que Tanaron, tout Tanaron !
  3. À défaut d’avion, je détourne la conversation : un vrai blog, quoi, où je raconte ma laïfe, mes galères de comédien, mes espoirs, mon projet politique pour quand je serai maître du monde.
  4. Autres (précisez).
  5. NSPP.

À vous le micro, je vais me coucher, soyez sages ;-)

Notes

[1] tous en chœur : « Je te conspue, Monsieur Portes, toi qui es maudit entre tous les hommes – et IE, le fruit de ton cerveau malade, est pourri ! » Zut, j’ai encore pas pris mes cachets LOL

[2] je suis curieux de savoir à quoi ça pourrait ressembler. Cher(e) internaute égaré(e), si vous repassez par ici et que vous avez trouvé, n’hésitez pas à m’en dire plus

[3] que je voudrais bien qu’on me dise ce qu’on attend que le baba cool fasse à la mort ^^ !

samedi 7 octobre 2006

Lucie – épisode 7

Et hop, je sors le blog des limbes le temps d’une participation à une « chaîne de blogs » un peu particulière… puisqu’il s’agit d’un récit élaboré à… un sacré paquet de mains ^^

Présentation générale :

On peut consulter sur cette page l’ensemble du récit élaboré jusqu’ici. Si vous souhaitez rédiger l’épisode suivant, dites « JE PRENDS » dans les commentaires de ce billet. Les explications complètes se trouvent dans ce billet. Liste des épisodes précédents : (1) (2) (3) (4) (5) (6)

À vous les studios…

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mercredi 30 août 2006

CSS en travaux

Comme l’ont peut-être lu ceux qui consultent l’édito en tête de page d’accueil, j’ai décidé de redonner un coup de peinture au bloug.

Ce mini-billet est en fait un appel à commentaire/suggestion de « look ». Vous qui êtes fashion, ou qui avez le sens du design, ou une opinion, ou les deux à la fois (mais lesquels deux, y avait déjà trois propositions ?!?!), laissez-moi donc ici une suggestion ou dites-moi ce qui vous plaît ou pas dans le visuel actuel.

Oui, je sais, ça ressemble à un appel désespéré pour avoir des commentaires… mais des meilleurs mieux reconnus que moi font pire, du coup, j’ai toute honte bue ^^

Édit 12 octobre : Premier redesign. Colonne principale « fluide », nouvelle bannière (pas du tout Internet Explorer friendly… mais vous ne naviguez pas avec cette antiquité, bien sûr !), évolution générale des couleurs. Je rajouterai une capture d’écran de l’ancien « thème » dès que j’ai cinq minutes ;-)

Edit 2 (tôt le 13/10) : et voilà la bêêête.

Capture de l’ancien blog

cliquez sur l’image pour agrandir (capture 800×1024) avec effet qui bute ! ^^

dimanche 30 juillet 2006

Blogueur en vacances

Après plus de trois mois d’un silence assourdissant, que le blogueur soit absent, vous vous en seriez doutés. Mais là je ne suis vraiment pas chez moi. C’est d’ailleurs le premier billet publié hors de chez moi, sur une machine d’emprunt… et en plus en wifi !

Pourquoi reprendre la parole, en ce cas, n’ayant, de toute évidence, pas mes archives sous la main, comment prétendre parler de survie en milieu… heu… contrariant depuis le bord de la piscine où je passe le plus clair de mes journées plutôt que garder le silence (prudent ? lâche ? assassin ?), c’est parce que, mesdames et messieurs il y a du nouveau à Tanaron ! Héééééé oui. Comme je vous le dis. Bien sûr, les abonnés au fil rss des commentaires sont au courant depuis un moment mais il ne sont pas sans doute pas nombreux ^^ .

Les commentaires, eux, ont poursuivi leur vie

Je vous livre donc ici l’intervention de notre amie Flo[1] :

bonjour
je ne m’éternise pas puisque la dernière fois que j’ai tenté l’aventure sur ce blog, l’ensemble du réseau s’est déconnecté?débranché?a buggué? bref…
je voulais juste passer l’info d’un chantier sur Tanaron sur la première quinzaine du mois d’août. Il y a une belle affiche qui le dit, avec les contacts et tout et tout mais j’sais pas comment on fait pour la mettre dans la boîte, là.
Donc je récapipit les points importants :
première quinzaine du mois d’août
amener les duvets (comme l’an dernier…)
payer 7 euros par jour pour la bouffe et tout le toutim (ça c’est nouveau)
être jeune majeur, surtout jeune et surtout majeur (faute d’agrément, label…pour le moment)
et c’est pour faire quoi? Restaurer le lavoir communal, et se rencontrer à Tanaron. Y’a de quoi faire…
A bientôt de vous voir,
pensée privilégiée à Noé, et sa petite troupe (ça va?)
Biz
Flo

Je suis, naturellement, très impressionné de pouvoir déstabiliser « l’ensemble du réseau » depuis mon petit blog ;-) , mais je tiens à rappeler qu’un lien vers une adresse pour m’écrire se trouve dans la colonne de droite, et que les commentaires n’autorisent effectivement que le texte brut, sans images ni mise en forme. En revanche, ceux qui espèrent une réponse personnalisée de ma part peuvent laisser leur adresse avec le commentaire, celle-ci n’est pas publiée sur le blog. Je ne me ferai pas moins une joie de publier toute image que Flo voudra m’envoyer[2] par courriel, en éditant le présent billet.

Les autres lecteurs qui sont dans la région ont ORDRE de s’inscrire toutes affaires cessantes au chantier de l’été où ils auront la chance de côtoyer des personnalités hors du commun dans un cadre exceptionnel… mais pas moi, qui n’ai pu me libérer pour pousser jusque-là. Je suppose que le plus simple, pour participer est de passer un coup de fil à Michel[3] qui saura vous dire coment venir à lui.

Mais vous méritez de savoir

Vous qui m’avez vu disparaître du web sans explications, sans une lettre, sans un coup de fil ^^ .

Partant du principe qu’un bon dessin vaut mieux qu’un long discours, voilà ce qui m’occupe principalement ces temps derniers :

Mon seul regret, dans cette grande éclipse, c’est d’avoir été biffé des liens de la Sardine masquée du port[4] ;-( .

Mais je compte bien recommencer à bloguer vers la rentrée. Restez dans le coin[5]

À bientôt les aminches.

Notes

[1] Je sais que la majeure partie de mes lecteurs ignore qui est Flo, mais elle intervient loin du point où nous en sommes dans le récit et je n’ai pas encore abandonné tout espoir de reprendre la chronique de l’été 2005

[2] sauf celles de nos folles nuits tropicales ^^

[3] cherchez Lamouche à La Robine sur Galabre – commune à laquelle Tanaron est rattachée –, j’ai scrupule à publier un numéro de téléphone à même le blog ;-)

[4] mais ma vengeance sera terrible : je compte bien continuer à la lire régulièrement, voire à laisser un commentaire de loin en loin… gnéhéhéhé !

[5] comment ça, il y a beau temps que plus personne n’est branché sul’ blog ?!

mardi 25 avril 2006

Et maintenant, une page de publicité...

Hé oui, fourbe et vil que je suis, quinze jours après vous avoir promis une mise à jour c’est toute honte bue que je vous livre une méchante et vile information à caractère vénalement autopromotionnel.

C’est là, c’est bientôt, venez nombreux, je vous aime… Ceci dessous est une copie du courriel adressé à mes contacts.

les chtites et moins chtites nouvelles de Noé Cendrier

Vous recevez ce courrier parce que, d’une manière ou d’une autre, vous avez manifesté de l’intérêt pour ce que je fais… Si vous ne voulez plus avoir de mes nouvelles (dont je vous abreuverai sur une cadence aléatoire commandée par l’actualité), j’en serai fort marri, mais faites-le moi savoir : mon propos n’est pas de vous importuner ! Dans le cas contraire, je compte sur vous un de ces soirs… et, surtout, parlez-en à vos amis, parents, cousins de Bretagne et oncles d’Amérique.

Back on stage

« Unique au monde ! »
au cœur de Paris !

vendredi 12 mai à 20 heures 30
à l’espace Saint-Honoré, Paris ier
62, rue Saint-Honoré
M° Châtelet / Les Halles / Louvre
places 10 €

Vous n’allez pas le croire, avisé-e-s lecteur-trice-s de cette talentueuse lettre-info : certains parmi vous n’ont toujours pas vu LA fantaisie post-apocalyptique ultime, écrite et interprétée par le Noé, bien que tous ceux qui ont déjà visité le site ou reçu quelques exemplaires de la présente lettre sachent que je parle naturellement ici d’« Unique au monde ! » – et je crois le moment venu de placer un point avant que la phrase ne dépasse une longueur critique. Il était donc indispensable de donner une nouvelle chance à celles et ceux d’entre vous qui ont raté l’occasion d’apprécier ce bien beau moment de théâtre, ou dont les amis auraient manqué d’être avertis, ou qui voudraient le revoir ou… trouvez vous-même une bonne raison de venir et vous gagnerez une bise sur chaque joue ! Sur la pièce, l’essentiel de ce qu’on pourrait en dire à titre promotionnel se trouve ici, je vous parlerai donc plutôt du bien chouette petit lieu qui accueillera cette représentation : ce charmant endroit a démarré cette année une programmation chanson/humour le vendredi soir, qui mérite d’être soutenue et accompagnée. Je ne saurais trop vous recommander de jeter un œil à l’ensemble de cette sélection raffinée, en attendant d’avoir le plaisir de vous y retrouver dans un peu moins de trois semaines…

Toujours en ligne

Tanablog
trop je raconte ma life sur internet

Je vous épargnerai un nouveau grand discours sur le blog, son histoire et sa vie à travers les âges… juste pour vous signaler que même s’il bouge à peine ces derniers temps, le mien est toujours en ligne et que certains d’entre vous ne m’ont pas encore fait l’aumône d’un commentaire  :-p !

À bientôt pour de nouvelles aventures !

PS: Ah ! heu… si certains d’entre vous sont intéressés par une adresse Google mail, n’hésitez pas à me le faire savoir : j’ai des invitations.

PPS : les plus observateurs parmi les habitués auront noté un changement de présentation dans la lettre : c’est juste pour que le moins de monde possible pâtisse des limitations dûes au mode de consultation… Mais vous pouvez retrouver les news « classiques » en cliquant sur l’image en haut, ou pour la « copie intégrée au site » de cette lettre ici !

et si si oui oui, le blog reprendra vie, je l’ai lu dans les étoiles du cosmos, mais la vie est mal faite, l’informatique traîtresse et le mistral gagnant, du coup voilà-la-vie-tout-ça, mais qu’on se le dise : que les photos d’Elinor se décident ou non à pointer leur nez, je reposterai, et sur Tanaron, encore !

samedi 11 mars 2006

Interlude auto-narcissique

Plus de quinze jours sans vous donner de nouvelles, ce n’est pas bien… Ceci dit, après mon retour de ma grande éclipse, j’ai constaté que j’avais apparemment épuisé la patience de mes lecteurs, puisqu’il faut régulièrement une semaine pour voir réapparaître des commentaires, généralement de l’ordre de « la suite, la suite ! »

Je sais, bien sûr que je fais œuvre confidentielle – mes stats ne me trompent pas à ce sujet –, que j’ai quelques lecteurs réguliers qui ne commentent jamais, que certains habitués ne sont pas forcément disponibles en ce moment et, en plus, Elinor a fait une entrée fracassante dans les comm’, mais je ne parviens pas à trouver dans ces retours une motivation impérieuse qui me pousserait à écrire avec frénésie.

Mais comme je vous aime bien et que je m’en voudrais de vous délaisser entièrement, j’ai décidé de vous mettre cette fois une « pièce jointe » d’un texte que j’avais sur moi à Tanaron[1] et sur lequel nous avons failli travailler. Histoire de ne pas vous assommer sous la masse et de voir si ça vous plaît (car je ne publierai la suite que si ça vous intéresse), je ne mets que la première scène…

Je ne vous en dis rien de plus, et je décrirai, à l’occasion, dans quelles circonstances j’ai été amené à l’écrire… Enjoy ! :)

M.U.S.C. – scène 1 (PDF – 91,6ko)

Notes

[1] d’où la nouvelle catégorie créée pour l’occasion

jeudi 23 février 2006

Le conseil de Koh-Lanta

Je mets donc fin à l’insoutenable suspense qui vous tient en haleine depuis plus d’une semaine maintenant[1] en vous narrant sans détour les détails les plus sordides de cette sombre histoire[2]

Michel et Marie ne sont pas du genre à laisser les choses se barrer en sucette sans réagir. Ils ont donc décidé de frapper un grand coup qui prendrait l’adversaire[3] au dépourvu… Ils sont descendus à la Bergerie pour nous parler. À tous.

Ce n’était évidemment ni la première, ni la dernière fois, mais ç’a a probablement été la plus déterminante. Car Michel a demandé à chacun quelles étaient leurs intentions. Marie a proposé à Fouzi de lui payer l’aller-RETOUR et de l’héberger à Rouen où il avait son rendez-vous. Aline ne voyait aucune nécessité de partir – a fortiori avec un homme absent pour trois jours maxi. Pour Amar, Sylvie, Elinor et moi, la question était de pure forme. Nous avions la ferme intention de tenir nos « engagements » de durée.

Restaient les Turcs. Comme il était prévisible, Murat dit qu’il aimerait autant partir. Michel lui a dit qu’il regrettait sa décision, pensant qu’il aurait pu apporter au projet… Mais lorsque ce fut le tour de Yasin[4], il lui tint un tout autre discours : « Toi, on te donne un billet de train et tu dégages ! Et encore, ça me fait râler parce que tu as un pouce, et que tu pourrais le tendre au bord de la route. » Et de lui reprocher d’avoir pourri l’ambiance dès son arrivée…

Et l’électrochoc a opéré !

Les garçons, après la réunion, et sans que j’en sache rien, sont montés à Tanaron comme à Canossa pour demander à rester. J’ignore, naturellement, la teneur de la négociation, mais le résultat, pour Yasin, a été spectaculaire. Dans les dix jours qui ont suivi il n’a plus jamais geint !

Et quant à Fouzi, l’école étant ouverte le samedi, il a pu faire décaler son rendez-vous d’une semaine.

Et avec tout ça, je n’ai encore rien dit de la piscine, dont je vous avais promis de vous entretenir. Et bien ce sera pour la prochaine fois, du coup ^^ !

Notes

[1] comme l’ami gall n’a pas manqué de le faire remarquer

[2] Moi ? Faire du sentiationalisme afin d’attirer visites z’et commentaires ? Rhooo… j’oserais pas !

[3] l’adversaire étant ici essentiellement une ambiance à tentation délétère

[4] que notre ami Michel, un brin dyslexique ne pouvait s’empêcher d’appeler Yasmine – ce qui n’était que très moyennement au goût de ce dernier…

mardi 14 février 2006

Crise

C’est bien gentil tout ça, mais pendant qu’on digresse allègrement, vous ne voyez pas le chantier avancer[1] !

Hé bien, disons-le tout net, il a bien failli s’arrêter prématurément. Et je vais d’ailleurs mettre une signalétique spéciale avant que des yeux innocents ne se fourvoient dans la suite de la lecture.

Comme j’y ai fait allusion quand j’ai relaté leur arrivée, Murat et Yasin n’étaient pas enthousiasmés par les conditions de vie locales. En fait, pendant leurs premiers jours parmi nous, il s’est avéré que Yasin avait un talent particulièrement marqué pour se plaindre, et geindre que « c’était-pas-possible-et-de-qui-se-moque-t-on », qui me rappelait irrésistiblement des camarades ayant du mal à s’adapter… à l’époque où je faisais du scoutisme[2] !

Les « conseils de classe »

Par voie de conséquence, cela créait des tensions, et on se retrouvait, après le chantier, et avant de redescendre à la bergerie, à discuter avec Michel et Marie, autour d’un verre de rosé[3], de la meilleure manière de « gérer » nos « élèves difficiles »…

C’était très perturbant[4], pas forcément efficace[5], et même agaçant : il ne nous paraissait pas que c’était le meilleur investissement que nous pouvions faire de notre énergie…

Marie est directrice de MJC, Michel a un passé d’éducateur, et j’ai longtemps joué les animateurs de MJC, les questions de « gestion d’équipe » nous sont donc plutôt familière. Mais il ne s’agissait pas de gens que nous « encadrions » de manière formelle, et ce n’était pas le but. J’étais d’ailleurs, au sens propre comme au figuré, logé à la même enseigne que le reste de l’équipe, et je pouvais juste me targuer d’une expérience un peu supérieure à la leur[6] dans ce genre de conditions de vie.

Mais nous avions du mal à voir comment amener Yasin à cesser d’attenter au moral des troupes…

La fuite des cerveaux !

Et puis vint ce qui aurait pu être le coup de grâce. À la fin de la première semaine, Fouzi apprend qu’il a reçu une convocation pour le lundi à Rouen dans son école, qu’il peut reporter le rendez-vous… en s’y prenant au moins vingt-quatre heures avant ! Et nous sommes déjà vendredi après la fermeture.

Or le « contrat » des invités était clair dès le départ : vous restez trois semaines… quinze jours minimum. Condition à laquelle le transport est pris en charge par Marie.

Évidemment, le cas de force majeure du départ de Fouzi ne pouvait être contesté. Mais il lui paraissait évident qu’Aline le suivrait. Et Murat et Yasin n’envisageaient pas de rester sans leur pote. Bref, nous risquions, à l’instar de la proverbiale agriculture, de manquer de bras. Des renforts nous étaient bien annoncés, mais sans date…

Quelle issue apparaîtra dans cette apparente impasse ? Vous le saurez[7] en lisant le prochain billet, ici même !

Notes

[1] J’avais promis d’y revenir dans le prochain billet – et c’est bien le billet suivant dans la même catégorie ^^

[2] Vu l’âge du capitaine, on va situer ça vers le milieu des années 80, et rien qu’à l’écrire j’ai des cheveux blancs qui me poussent

[3] Ce qui nous faisait une raison de rester plus longtemps que les musulmans sans leur indiquer qu’on allait parler d’eux

[4] Je n’ai jamais ambitionné une carrière dans l’Éducation Nationale, ne serait-ce qu’à cause de la problématique de l’évaluation des élèves

[5] Dire : « Ah oui, il nous donne du mal, lui ! » est essentiellement frustrant, et ne porte aucune solution

[6] Ce qui n’était pas difficile, hein…

[7] Probablement :-p

mardi 7 février 2006

Renaissance

Suite à la demande générale de la Sardine, je reprends le clavier et tente de le refaire fonctionner…

Il ne vous a naturellement pas échappé que j’ai évité soigneusement de poster en janvier, juste histoire de n’avoir pas à vous présenter mes vœux passque ouais chuis un gros asocial d’abord[1] !

J’ai hésité sur ce dont auquel je pourrais bien vous entretenir pour ce grand retour en blogosphère, et, finalement, c’est un lecteur qui a pointé son doigt vers la rubrique à alimenter…

Si j’ai brièvement indiqué dans mon tout premier billet[2] que le roman parlerait de l’aventure des jeunes des années soixante, je n’en encore ai rien dit. Mais puisque Monsieur Tabournel, que je ne connais pas et qui me le rend bien, me prend légèrement à partie, et se présente comme celui qui, avec une paire de potes, a fait que le village vit aujourd’hui, je me vois dans l’obligation de donner quelques éléments en ma possession[3]

Le village de Tanaron est donc resté inhabité pendant à peu près 18 ans, quand, en 1966, une bande de jeunes Aixois[4], dont le bon Docteur Tabournel[5], rachètent le village. Car si le village est vide, le territoire de la commune compte encore quelques habitants et un Conseil municipal. Et c’est le Maire, Monsieur Magaud, qui décide de revendre les parcelles revenues à la commune[6], et choisit cette vingtaine de gamins qui se sont engagé à rebâtir le village « selon son plan d’origine »…

Ils s’y sont attelés… dans des conditions que le roman vous détaillera[7]. Je préciserai juste qu’au bout de quelques années de labeur efficace (remontage de l’ancienne Mairie, construction de la piste, etc.), l’association qu’ils avaient créée pour acheter le village et organiser le chantier a fini par passer la main… mais ceci est une autre histoire[8]. Que de l’association créée alors par d’autres jeunes demeure encore au village Gérard, un personnage dont je ne pourrai pas ne pas reparler. Et, enfin, que depuis, en effet, il y a toujours eu quelqu’un là-haut, et que, vu de chez moi, ce n’est pas prêt de s’arrêter !

En conclusion, je signale que, si j’ai un peu charrié un Laurent Tabournel qui n’en demandait pas tant dans la présente note, je n’en serai pas moins ravi de faire sa connaissance lorsque, comme il l’annonce, il remontera à Tanaron.

À bientôt[9] les aminches !

Notes

[1] Comment ça, tout le monde sait qu’en vrai c’est juste que je suis un gros flemmard ? Bon ben puisque c’est ça, vous l’aurez cherché : « Bonne année ! » Na. Ça fait moins les malins, là, tout de suite…

[2] Que, mes stats me le confirment, le bon visiteur susnommé n’a pas lu

[3] Tout en tentant de ne pas spoiler le bouquin et le film… tu parles d’un merdier !

[4] Et quand on dit jeunes, ce n’est pas par flatterie : ils ont entre 15 et 21 ans

[5] Je n’ai aucune information selon laquelle ce brave homme aurait fait des études universitaires excesssivement longues, mais j’aime bien appeler les gens Docteur, des fois comme ça, et je vous zute

[6] Environ une quinzaine de maisons effondrées, le cœur de l’ancien village

[7] Le sujet même du joueb me force à faire ce teasing forcené… je vous assure, ce n’est pas dans mes habitudes ^^

[8] Encore, oui, je sais…

[9] Si, si, promis – je vais essayer de m’astreindre à une paire de post/semaine… on verra si j’y arrive

mercredi 21 décembre 2005

Quelques (tentatives d’) excuses

Ceux d’entre vous qui me font l’amitié de venir me voir régulièrement ont constaté l’irrégularité croissante des mises à jour.

Vu comme ça m’agace de n’avoir pas régulièrement de matière fraîche sur les blogs que j’apprécie, je me sens un peu fautif et je voudrais platement vous présenter mes excuses.

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