Tanaron, le blog

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Tanaron après 2005, y a quoi ?

Fil des billets

mardi 15 décembre 2009

Tanaron dans ta télé

Hé bien oui, contrairement aux apparences, je n’ai pas encore perdu les clefs de l’administration de ce blog !

Et j’y reviens, donc, aujourd’hui, pour vous donner des nouvelles de Tanaron.

Car il y en a. Et même plus que je n’en ferai tenir dans ce billet :-)

Disons, en bref, que le projet de film est de nouveau d’actualité (même si toujours sans date précise de réalisation, mais avec tout de même des pistes) et que j’y suis passé plusieurs fois ces derniers mois, à tel point que la télévision locale a tenu à immortaliser la portée historique de ce compagnonnage \o/

Et sur 1 heure et demie encore, avec un plateau au milieu ousqu’on m’interviewe, et tout !

Par ailleurs, je prépare le vrai site de Tanaron… mais je viendrai bien sûr vous en avertir ici.

À bientôt, donc, ici ou ailleurs ;-)

samedi 23 mai 2009

Un plan vacances d’enfer, ça vous tente ?

Comme l’a récemment fait remarquer Aminotérus dans les commentaires, c’est le bon moment pour appeler Tanaron et préparer le prochain chantier d’Été. Michel et Marie sont joignables aux 06 59 86 64 46 et 06 87 49 49 43 ou par courriel à association[chez]tanaron[point]com. Un été inoubliable à la portée de tous les jeunes qui n’ont pas peur des vieilles pierres, ça ne se refuse pas !

Par ailleurs, et à propos de ça n’a rien à voir, ceux que ça intéresse peuvent enfin suivre mon vrai moi que j’ai sur l’internet sur un site digne de ce nom par là. Retours appréciés, bien sûr.

mardi 21 octobre 2008

Retour à Casse-toi-le-dos la montagne

Résumé des épisodes précédents : depuis un certain coup de fil, notre héros autoproclamé, citadin[1] endurci, a jeté un bout de son ancrage affectif, sur cinq ruines et trois cailloux perchés à un millier de mètres d’altitudes… De retour après plus d’un an (et pour ses premières nuits sur place depuis plus de deux ans et demi), que trouvera-t-il ? Le cimetière l’accueillera-t-il encore volontiers ? Le rocher tutélaire nous sourira-t-il encore ? L’église sera-t-elle remontée ou retombée, et surtout, surtout, qui est encore là-haut ?

Vous le saurez (ou pas) en lisant la suite du billet !

Rha pinaise de fouchtra, un bon vieux teasing des familles, ça fait du bien par où c’que ça passe, je vous le dis.

Adoncques, j’ai pris le train. Porte à porte, de chez moi à Tanaron centre, comptez à peu près sept heures. Une heure et demie pour aller à la gare de Lyon[2], trois heures pour être à Aix, une demi-heure pour la correspondance, une heure et demie de bus pour atteindre Digne[3] et encore une grosse demi-heure pour arriver au village. Fatigué un peu.

Je ne vous ai rien dit du détail de l’appel à Tanaron reçu cette fois. En fait, il s’agissait d’un anniversaire (avec un chiffre rond au bout, mais bon, quand c’est une dame on n’insiste pas sur ces détails réputés désobligeants). L’anniversaire de Marie, donc. Et LE truc amusant, c’est qu’on attendait aussi (à compter du lendemain, vussque la fête c’était samedi/dimanche et que j’ai débarqué le vendredi soir) tout un tas de personnages de roman… Pouf, pouf. Tout un tas de personnage du roman… Repouf, repouf. Tout une partie de la bande des aixois des années 60. Vi vi. Les gamins fous d’alors, un peu moins gamins peut-être (encore qu’une lueur dans l’œil reste vive), mais toujours aussi allumés, remontés sul’ rocher. Comme moi je l’ai lu, le roman, en 2005, je peux vous dire que ça fait un certain effet. Y en a même des qui connaissent le blog ! Je me suis même fait tirer les oreilles sur le thème « ouiiiiii ! mais en fait en vrai en fait y a pas touuuut. Et puis ce qu’on a vécu en fait en vrai t’en parles pas des masses. Et pis les commentaires y sont pas terrib’ ! Et pis, bon, voilà, c’est bien gentil ton truc, mais j’aurais pas fait pareil[4] ».

Deux jours à les voir, les écouter, sans parler de la visite de Mme Endignoux, la bru de la Félicie Endignoux partie en 1948, les yeux plein de lumière du haut de ces cent deux piges[5] le dimanche, et du projet de reconstruction du village enfin formalisé… bref, quelque chose de vivifiant, d’apaisant, et une bonne bouffée d’envie de reparler sur le blog :-D

Pour ce soir, je m’arrête là, mais je ne désespère pas de revenir sur le déroulement de la teuf’, les nouvelles que j’y ai apprises et les perspectives qui restent ouvertes.

On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d'années, on devient vieux parce qu'on a déserté son idéal. Les années rident la peau ; renoncer à son idéal ride l'âme.
Douglas MacArthur

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Soyez (pas trop) sages ;-)

Notes

[1] et même, n’ayons peur de rien, Parisien

[2] j’avais compté large eu égard au fait que j’avais pas mes biftons pour le train et que le Reureu direk de Saint-Denis à Gare de Lyon c’est un tous les quarts d’heures ! Nan mais tu peux le croire, ça ?

[3] hééé oui, déjà dans les années soixante, quand on prenait un billet de train pour Digne, on arrivait à la gare en bus

[4] je schématise salement et avec une mauvaise foi crasse, vous l’aurez compris, mais je ne désespère pas 1. d’obtenir un commentaire de Jean-Luc pour protester de ce que je caricature sa pensée, ses paroles, et de ce que je profite lâchement de ce que c’est mon blog et que j’écris les conneries que je veux et 2. d’avoir plein de comm’ outrés de gens qui ne comprennent pas pourquoi on dit qu’il ne sont pas d’un niveau très largement haut du panier passque quand même quoi merde ! oui, je suis machiavélique, n’est-il pas ? ^^

[5] que même, si ça ressemble à ça, même pas peur d’être centenaire !

vendredi 10 octobre 2008

En route pour Tanaron, mon vieux Milou

Non ? C’est pas dieu possible ? Un billet ? Ici ? Qui parle de Tanaron ? Ok, où sont cachées les caméras ?

Hé bien même pas. Il n’y a pas de piège (à part naturellement la brièveté du truc). Ce week end, à Tanaron, on fait la fête et, naturellement il ne saurait s’y dérouler de fête réussie sans moi[1].

Et comme c’est un événement planétaire, la presse en parle. Il y a aussi eu un sujet sur France 3 région, mais j’ai pas le temps de vous le convertir (si quelqu’un sait comment monter un flv de façon très simplifié sous linux, mes commentaires vous accueilleront à bras ouvert).

Des bises, et, peut-être, un compte-rendu la semaine prochaine[2] \o/

Notes

[1] et je me la raconte si je veux, non mais sans blague

[2] oué, l’espoir fait vivre

dimanche 30 juillet 2006

Blogueur en vacances

Après plus de trois mois d’un silence assourdissant, que le blogueur soit absent, vous vous en seriez doutés. Mais là je ne suis vraiment pas chez moi. C’est d’ailleurs le premier billet publié hors de chez moi, sur une machine d’emprunt… et en plus en wifi !

Pourquoi reprendre la parole, en ce cas, n’ayant, de toute évidence, pas mes archives sous la main, comment prétendre parler de survie en milieu… heu… contrariant depuis le bord de la piscine où je passe le plus clair de mes journées plutôt que garder le silence (prudent ? lâche ? assassin ?), c’est parce que, mesdames et messieurs il y a du nouveau à Tanaron ! Héééééé oui. Comme je vous le dis. Bien sûr, les abonnés au fil rss des commentaires sont au courant depuis un moment mais il ne sont pas sans doute pas nombreux ^^ .

Les commentaires, eux, ont poursuivi leur vie

Je vous livre donc ici l’intervention de notre amie Flo[1] :

bonjour
je ne m’éternise pas puisque la dernière fois que j’ai tenté l’aventure sur ce blog, l’ensemble du réseau s’est déconnecté?débranché?a buggué? bref…
je voulais juste passer l’info d’un chantier sur Tanaron sur la première quinzaine du mois d’août. Il y a une belle affiche qui le dit, avec les contacts et tout et tout mais j’sais pas comment on fait pour la mettre dans la boîte, là.
Donc je récapipit les points importants :
première quinzaine du mois d’août
amener les duvets (comme l’an dernier…)
payer 7 euros par jour pour la bouffe et tout le toutim (ça c’est nouveau)
être jeune majeur, surtout jeune et surtout majeur (faute d’agrément, label…pour le moment)
et c’est pour faire quoi? Restaurer le lavoir communal, et se rencontrer à Tanaron. Y’a de quoi faire…
A bientôt de vous voir,
pensée privilégiée à Noé, et sa petite troupe (ça va?)
Biz
Flo

Je suis, naturellement, très impressionné de pouvoir déstabiliser « l’ensemble du réseau » depuis mon petit blog ;-) , mais je tiens à rappeler qu’un lien vers une adresse pour m’écrire se trouve dans la colonne de droite, et que les commentaires n’autorisent effectivement que le texte brut, sans images ni mise en forme. En revanche, ceux qui espèrent une réponse personnalisée de ma part peuvent laisser leur adresse avec le commentaire, celle-ci n’est pas publiée sur le blog. Je ne me ferai pas moins une joie de publier toute image que Flo voudra m’envoyer[2] par courriel, en éditant le présent billet.

Les autres lecteurs qui sont dans la région ont ORDRE de s’inscrire toutes affaires cessantes au chantier de l’été où ils auront la chance de côtoyer des personnalités hors du commun dans un cadre exceptionnel… mais pas moi, qui n’ai pu me libérer pour pousser jusque-là. Je suppose que le plus simple, pour participer est de passer un coup de fil à Michel[3] qui saura vous dire coment venir à lui.

Mais vous méritez de savoir

Vous qui m’avez vu disparaître du web sans explications, sans une lettre, sans un coup de fil ^^ .

Partant du principe qu’un bon dessin vaut mieux qu’un long discours, voilà ce qui m’occupe principalement ces temps derniers :

Mon seul regret, dans cette grande éclipse, c’est d’avoir été biffé des liens de la Sardine masquée du port[4] ;-( .

Mais je compte bien recommencer à bloguer vers la rentrée. Restez dans le coin[5]

À bientôt les aminches.

Notes

[1] Je sais que la majeure partie de mes lecteurs ignore qui est Flo, mais elle intervient loin du point où nous en sommes dans le récit et je n’ai pas encore abandonné tout espoir de reprendre la chronique de l’été 2005

[2] sauf celles de nos folles nuits tropicales ^^

[3] cherchez Lamouche à La Robine sur Galabre – commune à laquelle Tanaron est rattachée –, j’ai scrupule à publier un numéro de téléphone à même le blog ;-)

[4] mais ma vengeance sera terrible : je compte bien continuer à la lire régulièrement, voire à laisser un commentaire de loin en loin… gnéhéhéhé !

[5] comment ça, il y a beau temps que plus personne n’est branché sul’ blog ?!