Hééé oui, vous fûtes nombreux à me le souhaiter (y a au moins moi, je suis presque sûr d’y avoir pensé le jour même, alors que j’étais en répétition, loin de tout ordinateur), c’était hier (enfin, il y a quinze jours, le 4 novembre) que le Tanablog a fêté sa première année d’existence !
Et, nous ne couperons pas à la tradition, voici venue l’heure du bilan…
Le Tanablog au bout d’un an c’est :
- un nouveau look pas fini (largeur de colonne fluide au lieu d’être fixe, meilleure compatibilité avec l’infâme IE[1] – j’envisage en fait de le proposer à la communauté, vaut mieux que ça soit pas utilisable strictement que par moi) ;
- 20 billets, 21 avec celui-ci, si j’ai bien compté, ce qui m’exclut définitivement de la catégorie « blogueurs productifs » ;
- quelques rares fidèles qui comment(ai)ent régulièrement ;
- quelques rencontres et coïncidences ;
- pas mal d’égarés du Gougoule. a n g e l ayant à peu près épuisé le sujet, je ne commenterais pas sur les innombrables malheureux venus chercher chez moi les résultats d’un jeu télévisé crétin, ou la meilleure manière d’organiser leur ménage. Signalons toutefois les méritoires efforts de certains pour se distinguer par une recherche sur
photo de diantre
[2], oubaba cool fasse à la mort
[3] - une floppée de visiteurs de chez a n g e l, dont la deuxième fournée est en plein déclenchement ;
- j’ai tout de même atteint en partie mon but en donnant une petite visibilité web à Tanaron.
Car oui, si je bloggue ce soir matin, c’est parce que j’espère tout plein de commentaires terribeul car c’est de toi, ami(e) lecteur(trice), que dépendra l’avenir du Tanablog. J’ai du mal (c’est un euphémisme) à bloguer sur Tanaron : les faits s’éloignent dans ma mémoire, je suis un gros flemmard, et mon actualité s’est déplacée. Alors je m’en remets à toi, qui lis en te croyant à l’abri derrière ton écran (alors que j’ai les IP, gnéhéhé !) :
Que dois-je faire de l’endroit.
Voici les possibilités entre lesquelles j’aimerais que vous vous prononciez dans les commentaires :
- Je laisse mourir : cet espace deviendra un fantôme recelant des archives pour les générations futures, comme ça, le jour où le dernier arbre aura brûlé, on pourra encore se rappeler ce qu’était la nature au temps de sa magnificence.
- Je me remets au boulot et plus vite que ça : il y a une saison 2 à mettre au four, et on veut tout savoir sur Tanaron, rien que Tanaron, tout Tanaron !
- À défaut d’avion, je détourne la conversation : un vrai blog, quoi, où je raconte ma laïfe, mes galères de comédien, mes espoirs, mon projet politique pour quand je serai maître du monde.
- Autres (précisez).
- NSPP.
À vous le micro, je vais me coucher, soyez sages
Notes
[1] tous en chœur : « Je te conspue, Monsieur Portes, toi qui es maudit entre tous les hommes – et IE, le fruit de ton cerveau malade, est pourri ! » Zut, j’ai encore pas pris mes cachets
[2] je suis curieux de savoir à quoi ça pourrait ressembler. Cher(e) internaute égaré(e), si vous repassez par ici et que vous avez trouvé, n’hésitez pas à m’en dire plus
[3] que je voudrais bien qu’on me dise ce qu’on attend que le baba cool fasse à la mort !